Bravo ! vous êtes arrivé à cette page ;-))

C'est un disque vinyle 45t de 1960
de mon enfance.
                                          Antoine


oiseaux de la forêt
( Chaque lien vous permet d'écouter un fichier mp3.)


Ecouter le  "concert matinal" des oiseaux de la forêt
La sitelle torchepot
Sitta europea, 14cm.

Proche parente des mésanges et aussi des pics,
par ses qualités de grimpeur.
Elle passe son temps à glisser le long des écorces,
à inspecter les trous d'arbres et les fentes de rochers.
(cliquez sur la photo)
La mésange bleue
Parus coeruleus, 11cm.

aime les bosquets, les vergers et y détruit les quantités considérables
de chenilles et d'insctes. Elle niche dans un arbre creux et adopte
facilement les nichoirs.
L'enregistrement donne
1) un appel typique (cliquez sur la photo),
2) le chant des  parades amoureuses  et
3) les cris des petites mésanges réclamant leur  pâture ).
La mésange noire
Parus major, 14cm.

très commune. Bien que forestière, s'est adaptée aux jardins, parcs et
allées des grandes villes. Très peu farouche, effrontée même, elle vient
aux graines, viandes, fromages qu'elle a repérés devant nos fenêtres.
Le plus énergique et efficace destructeur d'insectes.
(cliquez sur la photo)
La mésange charbonnière
Parus ater, 10cm.

est exclusivement forestière. On la trouve à coup sûr dans les
sapinières, généralement en compagnie de mésanges huppées, de
roitelets. Appels très variés, sonores, durant presque toute l'année.
(cliquez sur la photo)
le pouillot véloce
Phylloscopus collybita, 10cm.

aime les sous-bois denses. Appelé aussi "compteur d'écus", son chant
stéréotypé "tjiptjep" évoque le tintement d'écus qu'on jette, en les
comptant, les uns sur les autres.
(cliquez sur la photo)
Le rouge queue à front blanc
Phoenicurus phoenicurus, 14cm.

répandu à l'orée des bois, dans les jardins. Niche de préférence
dans de vieilles murailles, trous d'arbres.
(Enregistré dans une vallée vosgienne).
(cliquez sur la photo)
Le pipit des arbres
Anthus trivialis, 15cm.

a une prédilection marquée pour les postes élevés, cimes d'arbre, d'où part son chant clair de canari. S'élance comme l'alouette, dans
l'azur pour retomber "en parachute" sur son point de départ.
(Enregistré en bordure de la forêt du Rhin :
chant de l'oiseau perché (cliquez sur la photo)
puis de l'oiseau  descente planée  )
Le coucou
Cuculus canorus, 32cm.

son "croassement" contraste singulièrement avec son appel classique
en tierce ou quarte. Il faut être assez près pour bien percevoir
cette manifestation d'excitation avec "gestes" à l'appui : contorsion
et hérissement du plumage.
(cliquez sur la photo)
Le pic-épeiche
Dendrocopos major, 22cm.

lorsqu'il martèle, il cherche sa nourriture sous les écorces.
Lorsqu'il tambourine, il "téléphone" à ses voisins ou à ses
voisines. (enregistré dans la forêt du Rhin)
(cliquez sur la photo)
Le pigeon colombin
Columba oenas, 32cm.

habite la grande futaie feuillue où il niche dans une cavité d'arbre
creusée par les pics. Le roucoulement est exclusivement
printanier, d'avril à juin. (enregistré en forêt vosgienne)
(cliquez sur la photo)
Le pigeon ramier ou palombe
Columba palumbus, 40cm.

le plus grand des pigeons sauvages. Roucoulement au rythme appuyé sur
la deuxième syllabe. Nid rudimentaire sur les branchages.
(enregistré sur fond de pinsons et grives)
(cliquez sur la photo)
Le faucon pélerin
Falco peregrinus, 45cm.

assez rare et isolé. A besoin d'un grand territoire de chasse.
Recherche pour nicher les endroits d'accès difficile : rochers, tours.
Son "piqué" d'attaque est si rapide qu'il émet un sifflement aigu.
Capture passereaux, mais aussi pie, corbeaux, palombes.
(cliquez sur la photo)
Le pinson des arbres
Fringilla coelebs, 15cm.

Très commun en forêt et dans les vergers. On a constaté que son chant présente des variantes
dialectales : certaines ajoutent un "ique" à la fin des ritournelles, d'autres ne le font pas.
Sur une région frontière un même pinson peut chanter avec ou sans "ique".
Le " cri de pluie " indique l'irritation: vent qui se lève, pluie qui tombe, passage d'une personne
ou d'un animal. Il est aussitôt repris par tous les pinsons du voisinage.
Cliquez ici pour écouter son  cri d'alarme  ou cliquez sur la photo pour écouter sa ritournelle.
La grive draine
Turdus viscivorus, 26cm.

La plus grande de nos grive. Chante dès février ses courtes phrases
du sommet d'un arbre et construit son nid, de préférence, dans les
cimes élevées de conifères. En automne, elle s'assemble en petites
bandes qui explorent champs et prairies.
(cliquez sur la photo)
La fauvette à calotte noire
Sylvia atricapilla, 13cm.

est fréquente dans les bosquets avec baies et sous bois.
A un bref bavardage incohérent et peu mélodieux, succède une
strophe claire et vive.
(cliquez sur la photo)
C'est fini...